De la littérature de caniveau et de l’indignité des fauteuils
J’aime à chambrer un jeune bourgeois vieillissant décavé, lequel tient en tout temps à la main, et jamais le même, un livre des éditions Fleuve Noir (années cinquante) qu’il considère chaque fois, sans exception aucune, comme un chef-d’œuvre. Dès lors, je l’estime la plus haute autorité en matière de littérature de caniveau. Mais à bien y penser, … Continuer la lecture de De la littérature de caniveau et de l’indignité des fauteuils