Quand on voit comment s’en sont tirés un président rougeaud américain en exercice puis un petit bonhomme rondouillard candidat (assuré du succès) aux plus hautes fonctions en France, le premier de frasques grotesques, le second de circonstances aussi sordides qu’inquiétantes, on doit être assuré que l’honneur n’est pas de ce monde – de celui de la politique en tout cas.