Premier diagnostic hypothétique sur la question Rom (ou toute autre question d’intérêt général).

Aux frais du contribuable (salaires et subventions de fonctionnement), les associations  s’emploient à démêler les fils des écheveaux, pelotes et autres sacs de nœuds que les collectivités territoriales et les services de l’État (Pôle Emploi en tête) s’ingénient à concocter, pour cette simple raison qu’il est vital pour eux de persévérer dans leur être (prouver son utilité et marquer son territoire, fût-ce, et surtout, en bloquant). Sincèrement, je regrette et suis découragé de devoir persister et signer : les vertus d’incompétence, d’arrogance, de paresse me semblent caractériser des pans entiers du service public à la française. Il faudra bientôt ajouter à ces éminentes qualités la violence car, à force d’être légitimement mis en cause, le service public finira par montrer les dents à ceux dont il devrait être l’obligé. Ici ou là, ça a commencé.

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