La fée électronique
Mon père puis ma mère, chacun à leur tour, ne se sont pas éteints, n’ont pas expiré : on les a débranchés. Dans un cas, j’ai pu m’égosiller (« Mon père ! »), obtenant le soulèvement d’une paupière sous quoi un œil révulsé baignait dans un liquide indistinct ; dans l’autre, il m’a été loisible de poser une main compatissante … Continuer la lecture de La fée électronique