Propos sur le bonheur

Face à l’embranchement, le choix est radicalement restreint : ou la misère acrimonieuse du couple, ou l’obscénité ricanante, sardonique, de la solitude. Je persiste à croire à la composition d’un individu supérieur à partir de deux amants quoique la destinée m’ait présenté jusqu’ici un démenti sans appel. La seule et unique fois où je me suis vu à pied d’œuvre, je n’ai pas été agréé !

Une réflexion sur “Propos sur le bonheur”

  1. Question d’un apprenti. Y aurait-il des situations (des modes ?) sans issue vers le vrai bien ? Des impasses. Je pense que non, mais qu’en dit-il ?

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