Les laids bibelots, les peluches de peu y ont cessé de m’essorer le cœur…
Je me suis fait au mauvais goût, à la laide misère qui ici, naguère encore, tordaient ma poitrine pour en exprimer des larmes…
« Je note le son que chaque chose produit en frappant mon âme. » Stendhal Journal, 11septembre 1811