Les femmes poussent devant elles une sorte d’idéal inimitable, ce en quoi elles ont raison car elles en sont, à l’occasion, magnifiquement porteuses et tort parce que, souvent, elles s’en instituent le comptable sourcilleux.
La femme me semble, sous un certain rapport, un leurre, au double sens que ce mot doit avoir pour un poisson pensant : illusion (scintillement prometteur) et terrible réalité (bouche avide qui se déchire et saigne).
Je pense, parfois, qu’entrer dans le lit d’une dame devrait être au-dessus des forces de tout homme raisonnable… qui ne s’estimerait pas invulnérable.