Comme je voudrais t’aimer, petit !

L’enfant que j’ai été me fait de la peine ; je me sens porté vers lui comme vers un étranger que la compassion me commanderait d’étreindre mais dont je ne voudrais offenser ni la dignité ni la pudeur.

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *