Chers détritus bourgeois

Comment peuvent-ils seulement trouver le sommeil ces rebuts d’humanité qui, dans les beaux quartiers, vous disent, entre inquiétude et espoir, que leur chien chéri entame sa seconde chimiothérapie ? Dans mon hameau d’adoption, les plus pauvres n’ont même pas droit à un diagnostic – et le crabe insatiable se repaîtra de leur chair à peine plaintive jusqu’à leur pauvre trépas.

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