Avant chacune des rencontres inespérées mais proprement féeriques qu’elle lui réserva, sans même qu’il s’en rendît compte, il toilettait son âme comme faisaient les jeunes gens de toute confession qui naguère veillaient jalousement à leur tenue (sur celle de leur âme aussi ?), dans la première grande occasion consciente de leur vie religieuse (– ceci du temps d’avant le suicide des religions, prélude à l’assassinat généralisé…)
Vie religieuse, vie amoureuse. Fallait-il aussi traduire « âme » ?