On voudrait, maintenant, que le caquet de la triste classe médiatique fût rabattu pour un temps certain, après la bévue cosmique, monumentale, qu’elle vient de commettre en toute bonne foi. Ce n’est pas rien que de confondre un honnête retraité avec un bourgeois décavé assassin pervers de toute sa famille. Mais il n’en sera rien : la racaille journalistique a pour elle-même toutes les complaisances. Elle continuera de se gausser du dangereux clown à la mèche jaune (président proclamé de la plèbe américaine) et de ses fausses nouvelles. Lui aussi, il croit à ce qu’il dit et tient au secret de ses sources. N’est-ce pas là le tout de vos marottes favorites, à vous hydre ignoble de l’information qui ose se dire service public ?