L’impudence des politiciens est telle qu’il faudra bientôt les remercier pour l’occasion qu’ils nous donnent de les grassement payer, alors qu’ils nous sont imposés par des instruments de malheur (partis, syndicats), sous le contrôle d’un gouvernement qui s’obstine à s’appeler représentatif quand il n’est autre chose, depuis au moins deux siècles, que l’émanation des intérêts des plus riches. Rompre avec les fictions et congédier les imposteurs, tels pourraient être les piliers d’une refondation éducative.