Il y a ceux qui jouissent des cimes, de la vie au grand air, de l’observation pauvrement verbeuse de la Nature ; et ceux qui s’enivrent dans des bouges, regardent le cul des femmes comme des promesses d’absolu, tirent sur des rouleaux remplis de tabac jusqu’au spasme de leurs bronches. À tout prendre, je préfère les seconds.