Les médecins font, paraît-il, de mauvais malades (angoissés, autruches forcenées, ignorants volontaires, etc.). En sachant trop, ils ne veulent rien savoir quand ils sont objets, et non plus sujets… Les malades sont toujours d’impeccables médecins, exigeants, omniscients, juges implacables (le con, le salaud, il n’a pas vu mon cancer, etc.). N’étant, grâce à dieu ou par sa faute, ni médecin ni (encore) malade, je ne peux faire beaucoup mieux que rapporter le point de vue des deux bords.