Un journaliste soi-disant indépendant du service dit public nous propose cette analyse, étourdissante de pertinence, de la situation critique internationale : « un affrontement de mâles dominants ». Si cet abruti échappé de fraîche date du divan de son ethnopsychanalyste a raison, se rend-il compte, alors, que ses consœurs journalistes sont toutes des femelles séductrices, mamans castratrices ou putains captatrices – au choix.