La ville la plus creuse et arrogante, l’incurable Grassiano, a franchi le mur du con pour célébrer le passage du Tour de France cycliste… Inscrite en énormes lettres, à la peinture blanche, sur le tablier de l’antique pont de bois, cette délirante prière : SI TOUS LES VELOS DU MONDE, génuflexion destinée, à n’en pas douter, à l’œil forcément humaniste de l’hélicoptère de la télévision. En effet, si tous les vélos du monde persistaient à casser les bonbons des pauvres piétons citadins, il faudrait envisager de se faire retirer certains ornements, naturels mais non nécessaires. Grassiano, degré zéro de la pensée et du corps !