Les députés de la supposée république prétendument en marche, au lendemain de leur vote de ratification d’un traité de commerce international, s’indignent d’avoir vu leurs clinquantes permanences électorales saccagées, défigurées au moyen, notamment, de quelques bottes de foin… On s’étonne qu’ils s’étonnent de se voir opposer (apposer) le signe même de ce qu’ils sont : des hommes et des femmes de paille prêts en toute matière à exaucer l’inflexible désir de leur Lider Maximo.