Ne pense-t-on pas à un personnage éminent dans l’échelle cacophonique des valeurs médiatiques quand on lit ces quelques lignes de L’homme de paroles de Claude Hagège (p. 203) : « Même quand les formes linguistiques ne le disent pas aussi clairement que dans l’idiome des Aztèques, celui qui possède la langue est investi d’autorité. D’une plus grande autorité que celui qui en a une commande hésitante » ?