Où sont-elles le matin ? Sans doute doivent-elles s’extirper de songes trop lourds ou se remettre des nuits sans sommeil. L’après-midi, elles sont dans des camisoles qui sont aussi leur fauteuil, affaissées sur elles-mêmes comme des poupées de chiffon.
Elles (et ils) ont aussi un regard qui vaut d’être croisé, souvent une parole qui vaut d’être écoutée. Elles et ils ne sont pas des poupées de chiffon.