Le gnome à face d’oisif qui prétendait hier représenter le parti qui ose encore se dire socialiste dénonce ce jour l’arrogant morveux qui lui a soufflé sous le nez, à lui et quelques autres, le fauteuil à glands dorés de magistrat suprême. Son rival heureux et fou de lui-même conduirait une politique anti-migratoire impitoyable, comme personne avant lui n’avait osé. Il semble avoir échappé à notre sybaritique défenseur des pauvres que l’arrogance (ou folie de soi) comme forme éminente de l’ignorance de soi est un autre nom pour la connerie. Le simplet au grand cœur ne se souvient donc pas d’une réplique cent fois entendue devant son écran de télévision : « Les cons ça ose tout, c’est même à ça qu’on les reconnaît. »
Bien dit, bravo (Noyeux Joël)