Sans la misère qui environne nos nations, sans celle, surtout, qu’on souffre si aisément au milieu de nous, moyennant le placebo antalgique du blabla des bécassines progressistes, sans l’énormité de la misère notre opulence ne serait en aucun cas possible.
Le blabla, oui. Mais « surtout », non. C’est le pillage à grande échelle d’une bonne partie de la planète qui garantit notre opulence.