À l’été, sur le trottoir du boulevard, j’avais aimé ses traits cabossés mais pleins, son regard mordoré, ses cheveux rouges, le sourire d’appel d’une romni. Elle a un visage de lune – astre d’espoir et de tristesse – et son ventre, sans qu’elle en fasse toute une histoire, pend misérablement – c’est qu’il vient de la misère.