Sur la question de savoir ce qui est vulgaire. Ce cadre qui porte sa fourchette chargée à ses lèvres ; les lèvres qui se tendent, leur mollesse sucrée, ce qu’il y a d’animal, de toute façon, dans les gestes pour se nourrir, ne pourra être ni écarté, ni repoussé. Ce manœuvre qui mange comme on accomplit un travail ; les pâtes sont autant de balles de foin qu’il élève en équilibre sur sa fourche. Une grâce certaine et brutale.