Vivre et compatir au chaud

Trop bien nourri, le citoyen progressiste n’approche la réalité de la misère que sur le papier glacé des magazines, à la surface de ses écrans innombrables, dans les rouages plus ou moins  huilés des associations, en se tenant bien fermement à des garde-corps trempés de déontologie ou de charité.

Une réflexion sur “Vivre et compatir au chaud”

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