Quand la survie de Rome dépendait de la vigilance de certains volatiles

Les écrits d’Éric Zemmour ne sont certes pas ma tasse de thé (L’Inde ou la Chine en cultivent de si délectables…) Ses livres sont autant de bubons (symptômes) que l’éternel étudiant de SciencesPo (horresco referens) aligne, dans l’espoir toujours déjoué de se hisser jusqu’à la chaussette de maîtres qu’il a mal assimilés. Je confesse n’avoir lu aucun d’entre ses ouvrages, à l’exception de dizaines de lignes ici ou là, mais il en récite si complaisamment le contenu par tous moyens et je l’ai écouté des heures… Ses pavés représentent le sommet, parmi tant d’autres, de ce que je me plais à appeler des copies d’écran (hommage rendu à l’instrument plume plutôt qu’au plumitif). Mais s’il n’était en un sens rien d’autre (mais tout de même)… qu’une oie du Capitole ?

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