Les derniers jours de l’humanité

Je mets un point d’honneur à décocher des regards torves, sinon carrément menaçants, aux imbéciles qui sillonnent derrière leur guidon les trottoirs et rues de la cité aussi plate que veule. Si un reste d’instinct de survie pouvait faire mettre pied à terre à un ou deux crétins atteints par mes yeux revolver, j’aurais le sentiment, ayant bien mérité de l’Homme, d’avoir livré mon Camerone, un Fort Alamo, avant de succomber à l’irrésistible marée des Khmers rouges et jaunes

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *